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15 novembre 2009 7 15 /11 /novembre /2009 14:01
Maman que de garçons, il est parfois difficiles de trouver des instants de complicité, des activités avec mes garçons ados.
Bien sûr, il y a le tournoi de scrabble avec l'ainé Guillaume, moments de vraie complicité, plaisir et passion partagées.
Mais j'ai trouvé aussi comme moyen de dialogue, de partage, d'échange, de transmission, tous ces petits moments passés dans la cuisine.
Les enfants savent m'y trouver, viennent y parler, voir ce que je fais, renifler les casseroles. C'est vraiment un lieu de passage et d'échanges.
Mais le plus sympa, c'est de joindre l'utile à l'agréable, et d'inviter un des garçons à préparer le repas avec moi. Pas toujours besoin de recette extraordinaire. Le repas courant peut suffire, du moment qu'on donne à l'enfant des responsabilités en fonction de son âge.
Aujourd'hui Laurent a préparé le déjeuner avec moi : au menu, du filet de cabillaud au four, poélée champêtre (surgelés), blé. Et bien Laurent a appris à cuire et surveiler la poélée, allumer la gazinière, préparer le poisson et l'assaisonner, allumer le four, mettre l'eau à bouillir pour le blé, cuire le blé...Il a tout fait tout seul, sous ma surveillance.
Il était très fier...et en même temps, il se familiarise avec des gestes simples, en route vers l'autonomie.
Prochaine leçon pour chacun des garçons à son tour : savoir faire cuire des pâtes et préparer une garniture. Essentiel pour une absence imprévue de maman !
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13 novembre 2009 5 13 /11 /novembre /2009 05:55

Le magazine Psychologie parraine pour la première année en France la JOURNEE DE LA GENTILLESSE. Cette journée existe depuis plusieurs années dans d'autres pays.
Alors n'hésitons pas : SOYONS GENTILS !
Osons les gestes et paroles gratuits envers les autres, proches ou inconnus, sans avoir peur du ridicule. Osons les petits plus, les petites attentions qui ensoleilleront notre journée et notre relation aux autres. Osons le sourire. Osons le coup de téléphone repoussé depuis longtemps.
Mais sachons aussi recevoir la gentillesse des autres, sans chercher ce qui se cache derrière, sans se renfermer dans sa coquille par peur. Sachons accepter le sourire sans se dire "il me drague" ou "elle a quelque chose à me demander". Sachons accepter le petit cadeau sans y voir de calcul...
Soyons gentils tout simplement parce que ça nous fait du bien. Parce que ça réchauffe. Parce que ça DONNE DU SENS à nos actes. Comme mille petits bonheurs qui font colorer notre journée.
Et n'hésitons pas à poursuivre demain, après demain, et toute notre vie...car sûr, la gentillesse n'est pas une faiblesse, un sacrifice, mais un art de vivre.
SOYONS GENTILS !


Je vous souhaite à tous et toutes qui lisez ce blog une excellente journée, parsemée de gentillesse et de petits bonheurs.
Allez donc rendre visite à
Joelle, qui vous apporte sa vision de cette journée de la gentillesse.

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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 08:45
Je vous ai déjà un peu parlé de ma découverte du taichi. Je me suis à un cours un soir par semaine. C'est déjà une étape de m'accorder ainsi cette soirée, laissant les enfants seuls au diner, un moment pour moi, qui me fait tant de bien.
Pendant le cours, nous faisons d'abord un petit échauffement, puis nous apprenons étape par étape un enchainement de 8 figures. Tout se fait dans la fluidité, c'est vraiment apaisant. Mais on doit coordonner jambes, bras, bassins, ce qui nécessite une grande concentration.
Je ressors d'une séance de taichi ressourcée, apaisée, pleine d'une énergie créative, "réchauffée"...
J'ai trouvé l'enchainement que nous apprenons...Désolée pour les soustitre en chinois, je n'ai rien trouvé en Français pour l'instant. J'ai déjà appris les 3 premières figures, aux noms si caractéristiques : "L'ouverture", "repousser le singe", et "brosser le genou". Je crois que la figure suivante sera "séparer la crinière du cheval", "porter le ballon", "les mains dans les nuages"....Tout un magnifique programme !

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10 novembre 2009 2 10 /11 /novembre /2009 20:31
Je sais que beaucoup de personnes arrivent sur ce blog car elles cherchent les FAMEUX MENUS POUR LA SEMAINE.
Et oui notre problème à tous, QUE FAIRE A MANGER SANS Y PASSER TOUT NOTRE TEMPS ?
Alors revoila mes suggestions de menus pour 6 repas, du soir ou du midi, avec le lien vers les recettes données dans ce blog.

Un repas facile à faire, qui peut se préparer à l'avance et être réchauffée au micro-onde.
Le dessert à base de glace permet de multiples variations de gout, de décorations, d'apports de fruits, fruits secs, sauce chocolat ou coulis...c'est toujours la fête !
J'adore les tartes salées pour le soir, cela permet d'avoir un plat nourrissant, avec des légumes, et rapide à préparer.

Salade de lentilles aux lardons
Flan aux poires

Un menu idéal quand maman n'est pas là ! tout est prêt à l'avance, et on se régale.
Quand maman est là, l'idéal est de faire griller les lardons au dernier moment et  de les servir chaud dans la salade...

Et oui, profitons du potiron en ce moment. Rapide, économique, facile à préparer...
Si vous voulez enrichir le repas, faites une soupe party en proposant cubes de fromage, morceau de jambon, croutons, à rajouter dans la soupe !

Soirée blinisSalade de fruits

Cette recette de saucisse de Montbéliard est un vrai bonheur. Vous pouvez aussi la servir avec une bonne purée maison !

Vous pouvez manger les blinis avec des garnitures salées, mais aussi sucrées. Variez les plaisirs !


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10 novembre 2009 2 10 /11 /novembre /2009 16:53
Ingrédients
- 1 paquet de pâte brisée surgelés
- 1 kg de poireaux
- 25 g de beurre
- 3 oeufs
- 10 cl de crème
- sel, poivre, muscade
- 1 verre de lait

Faites dégeler la pâte (mon conseil : je sors la pâte la veille et la fais dégeler dans le frigo, elle est impecable à étaler)
Eplucher les poireaux en ne gardant que le blanc. Couper en fins morceaux
Préchauffer le four à 200°C
Faire cuire les poireaux avec le beurre, à feu très doux, en rajoutant de temps en temps un peu d'eau chaude afin qu'ils ne dorent pas.
Etendre la pâte dans un moule à tarte en laissant le papier.
Mélanger les poireaux avec les oeufs battus, le lait, la crème, sel, poivre, muscade.
Versez la préparation sur la pâte et mettre au four aussitôt, 30 min.
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10 novembre 2009 2 10 /11 /novembre /2009 16:39
Ingrédients (pour 6 personnes):
- 1 kg de calamars (ou anneaux d'encornets) surgelés
- 2 oignons (ou 200 g d'oignons émincés surgelés)
- 2 gousses d'ail (ou ail haché surgelé !!)
- 1/2 litre de vin blanc
- 2 boites de tomates concassées (425 ml)
- 2 poivrons
- huile d'olive
- sel, poivre

- Epépiner les poivrons et coupez les en lamelles.
- Dans une cocotte, faites chauffer l'huile, faire revenir les calamars pendant 10 min en remuant de temps en temps.
- Les enlever de la cocotte, puis à feu doux, faire fondre les oignons et les poivrons environ 10 min. Ajouter l'ail à la fin.
- Remettre les calamars dans la cocotte, ajouter les tomates concassées.
- Saler, poivrer, mouiller avec le vin blanc.
- Poursuivre la cuisson à feu doux pendant près d'une heure en laissant le couvercle. Un peu avant la fin, on peut enlever le couvercle si on préfère une sauce un peu plus épaisse.

Servir idéalement avec du riz.
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4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 19:53
Quelle coincidence...Je finis ce soir enfin de lire le numéro  de Psychologie de septembre (il est temps !) et tombe sur cette chronique de David Servan Schreiber, qui vient exactement illustrer et enrichir l'article précédent.
Je vous laisse savourer :

"L'économie d'une société ressemble parfois à celle de nos choix personnels. La crise économique qui a débuté il y a un an exactement a démontré la faillite d'un système qui ne poursuit plus que l'appât du gain en trahissant ses valeurs fondamentales -l'intégrité, la bienveillance, ou l'équité. Cela ressemble à ce qui arrive généralement à nos vies lorque nous privilégions la réussite matérielle aux dépens de nos qualités individuelles.
Une très belle voix s'est élevée pour décrire ce que vit un pays lorsqu'il se consacre uniquement à la croissance de son "produit national brut" : "notre produit national brut comptabilise la pollution de l'air, la publicité pour les cigarettes, l'activité des ambulances sur nos autoroutes. Il prend en compte les serrures de haute sécurité pour nos portes, et la construction des prisons pour ceux qui les forcent...Mais le produit national brut ne mesure pas la santé de nos enfants, la qualité de leur éducation, ni la joie de leurs jeux. Il n'inclut pas la beauté de notre poésie ni la solidité de nos mariages. Ni l'intelligence de notre débat public, ni l'intégrité de nos politiciens. Il ne mesure ni notre humour ni notre courage; Ni non plus notre sagesse ou notre volonté d'apprendre; ni notre compassion ni notre attachement à notre pays. En bref, il mesure tout, sauf c e qui fait que la vie vaut la peine d'être vécue." Il s'agissait de Robert Kennedy, lors de sa campagne électorale à la présidence des Etats Unis en 1968, quelques mois avant son assassinat.
Aujourd'hui, un groupe d'économistes anglo-saxons -en en France, le philosophe et économiste Patrick Viveret - militent pour que le succès de nos sociétés soit mesuré par le bien-être de ses citoyens plutôt que par sa production d'armes ou sa construction de prisons. En étudiant ce qui rend vraiment les gens heureux, ils sont arrivés à des recommandations précises : ce sont des activités quotidiennes qui ne relèvent pas de la consommation et peuvent se passer des conditions matérielles mises en danger par la crise. A chacun de faire en sorte, et à nos gouvernements de nous y aider, qu'il fassent plus souvent partie de notre vie.
1) Connectez vous aux autres. Investissez vous dans les relations humaines : avec les membres de votre famille, vos amis, vos collègues de bureau, vos voisins. Elles vous enrichiront et vous soutiendront chaque jour et un peu plus.
2) Soyez actifs : Allez marcher. Faites du vélo. Jouez au foot. Jardinez. Dansez. Trouvez une façon de faire bouger votre corps qui vous plaise et vous amuse. Lorsqu'il est en action, le coprs fabrique de la bonne humeur.
3) Aiguisez votre conscience du moment présent : Soyez curieux. Remarquez ce qui est beau ou inhabituel. Savourez le moment que vous vivez, que ce soit un déjeuner avec une amie ou une marche dans la rue en allant travailler.  Restez conscient de ce que vous ressentez dans votre corps, dans vos émotions, dans vos pensées. Prenez note de ce qui compte le plus dans votre journée.
4) Ne cessez jamais d'apprendre. Essayer quelque chose de nouveau. Prenez ce cours de chant, de tango, de cuisine ou de dessin. Fixez vous un défi que vous aimeriez vous voir dépasser. Puis, dépassez le.
5) Donnez de vous-même. Faites quelque chose pour aider un ami ou un étranger. Souriez dans le métro. Soyez bénévole pour une association. Imaginez votre bonheur personnel comme inextricablement lié à celui de la communauté qui vous entoure. Rendre service active les régions du plaisir au plus profond du cerveau.
Etonnant qu'il faille une crise économique mondiale pour que des valeurs aussi simples et aussi éternelles trouvent leur place au sein du débat de société. Mais l'idéogramme du mot crise, en chinois, ne veut-il pas dire à la fois "danger" et "opportunité" ?
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4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 19:02
Dans la série "il n'y a pas de mal à se faire du bien", ou alors "faisons nous plaisir", ou encore "quelques minutes de bonheur" je vous livre ce diaporama, à savourer, déguster...et méditer...(cliquer sur l'image)


Personnellement, ce message m'a "réveillée" ce matin, m'a fait sortir de ma période de mélancolie. Oui, pas de TEMPS a perdre, savourons la vie, savourons l'instant.
J'ai du coup "rempli" ma journée de petits instants de bonheur : certains liés à des contraintes de ma journée, comme un rendez vous professionnel, des courses, du ménage, de la cuisine. D'autres que je me suis octroyée, comme une bonne marche dans la campagne, une séance de 1 h de yoga (hum, ça faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé, mais comme ça fait du bien)...Mais à chaque fois en savourant l'instant comme un moment précieux.
Et bien je peux vous dire : CA MARCHE ! Qu'est ce que je me sens bien ce soir !
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3 novembre 2009 2 03 /11 /novembre /2009 15:38
Comme d'habitude, j'ai décidé de lutter contre mon coup de cafard, mon petit passage à vide...en POSITIVANT, en utilisant toutes mes ressources intérieures et extérieures, en essayant de mettre en oeuvre l'énergie créatrice qui est ma force.
Voila pourquoi je vais partager avec vous quelques jolies choses, qui font du bien tout simplement.
Pour se rappeler que l'essentiel est de prendre le temps de vivre, de se faire du bien, de faire du bien aux autres, de trouver les petites étincelles de bonheur et de plaisir partout où elles se trouvent.

Alors je vous partage ici cette merveille de poésie, de talent, de beauté, d'émotion. Savourez l'instant, jusqu'au bout. Prenez le temps de vous arrêter un moment...et si vous en voulez plus, rendez vous sur le site
sandfantasy.com...

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1 novembre 2009 7 01 /11 /novembre /2009 14:08
33- Le meilleur est encore à venir


C'est tout simple mais tellement ...encourageant. Pouvoir porter un regard plein d'espoir et de confiance sur sa vie. Le destin me réserve de belles choses, mais cela ne doit pas signifier être passive. Je suis actrice de ma vie, le meilleur est devant car je le veux bien, que je le vaux bien, et que j'oeuvre jour après jour pour cela. C'est aussi le regard que je porte sur ma vie quels que soient les évènements qui la rendront encore plus belle...meilleure.
Aujourd'hui je suis en plein cafard. Sans explication rationnelle. Il pleut, il fait gris. Je me sens dans une grande solitude affective malgré la présence de ma famille. Un grand sentiment de vide, ou d'être noyée dans trop de choses aussi. Mais je sais que c'est passager, je ne me laisse pas envahir par le découragement...Le meilleur est à venir !
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Présentation

  • : Maman de famille nombreuse...presque zen !
  • : Agée de 48 ans, Maman de 4 garçons (18 ans et des triplés de 17 ans),mais aussi Femme et Educatrice Specialisee, je vous partage mes coups de coeur, mes trucs de maman, mes petits bonheurs, mes découvertes, mes pensées...Ce blog est avant tout un blog d'échange et partage, alors Bienvenue à vous.
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A qui est capable de le voir comme tel.

Henri Miller
 

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